Des solutions ergonomiques et fiables pour des années

S’engager dans la durabilité, c’est aussi s’engager dans des matériaux de qualité qui remplissent leurs fonctions de manière fiable pendant plusieurs années. C’est la philosophie que suit Arcadel avec les manipulateurs pneumatiques de Dalmec. La qualité est primordiale dans tous les choix de l’entreprise, des matériaux utilisés aux concepts déployés. Pour Rombouts, ce fut la principale raison du choix des équipements de Dalmec et du service du fournisseur Arcadel. 

Les grains de café sont généralement livrés dans des sacs en jute. Le poids peut atteindre 80 kilos, une charge particulièrement lourde pour les opérateurs. Voilà pourquoi de plus en plus d’entreprises du secteur investissent dans les solutions ergonomiques de Dalmec et d’Arcadel. « Dernièrement, nous avons finalisé un projet chez Steinweg », fait savoir Thierry Reverse, administrateur chez Arcadel, le fournisseur exclusif des manipulateurs pneumatiques de Dalmec en Belgique et au Luxembourg. 

Steinweg opère dans le port d’Anvers en tant que fournisseur de services logistiques. Les grains de café importés partent des entrepôts vers les torréfacteurs du monde entier. « Cet équipement est utilisé pour préparer les commandes des clients. Sur une palette, les lots de grains de café de diverses origines sont préparés en fonction des commandes. » Jadis, le travail manuel était dur car il fallait manipuler des sacs pesant jusqu’à 80 kilos. Aujourd’hui, les manipulateurs pneumatiques de Dalmec, équipés de grappins et de pinces spéciales, facilitent le travail. La solution a déjà démontré sa valeur ajoutée aux Pays-Bas, pour Steinweg. 

Arcadel travaille actuellement sur une solution similaire pour Rombouts à Aartselaar. Thierry Revers: « Il s’agit de sacs en jute qu’il faut transporter de la réception aux installations. L’entreprise avait déjà une solution mais les défaillances et les dysfonctionnements étaient réguliers. Dalmec applique heureusement une autre philosophie. Dès la phase de développement, les équipements sont protégés autant que possible contre l’usure. Par exemple, un double câble est utilisé au lieu d’un seul pour supporter le poids. De plus, une approche modulaire est adoptée afin de pouvoir démonter et remplacer les composants individuels. La durabilité est primordiale et les clients peuvent compter sur un fonctionnement fiable. »

Un autre point fort que les clients apprécient est le travail sur mesure dont Dalmec a fait sa carte de visite. « Les équipements sont conçus sur mesure à partir de la situation spécifique sur place car plus ils sont adaptés au travail à effectuer, plus les opérateurs les utilisent rapidement », détaille Thierry Reverse. 

La solution déployée par Arcadel chez Topbronnen en est un bel exemple. Les équipements sont utilisés pour acheminer des bobines de film en vue de leur transport ultérieur en production. Un mandrin est inséré dans la bobine à la verticale, puis s’étend et crée un mouvement de basculement pour positionner la bobine à l’horizontale. « En parfaite synergie avec ce qui existe déjà. Auparavant, il y avait un système de chariots pour déplacer les bobines. Cela fonctionnait parfaitement. Le problème résidait dans le basculement manuel et la bobine de film qui tapait sur le chariot. Cela causait facilement des dommages et des pertes associées. Nous avons pu solutionner ce problème. »

Au départ, le client avait demandé une solution mobile au lieu d’une station fixe à la machine. 

« Techniquement, nous aurions pu réaliser cela grâce à la flexibilité de nos équipements. Mais nous essayons de faire la différence en entamant une réflexion avec le client sur la mise en pratique. Pour les solutions mobiles, il faut une alimentation en air comprimé là où le travail est réalisé, et de l’électricité. On peut aussi choisir un système sur batteries, mais qu’en est-il si les opérateurs oublient de les recharger ? De plus, il faut un certain temps pour configurer correctement l’équipement et garantir un fonctionnement fiable. Il faut oser exprimer les points d’attention puis voir ensemble ce qui fonctionnera le mieux. C’est une question d’honnêteté et de transparence. C’est comme cela qu’on arrive aux meilleures solutions », conclut Thierry Reverse. ■